Avant d’entrer dans le vif du sujet, il faudrait remonter dans le temps, de voir quand cela est apparu dans les annales de la vie humaine.
Si on se fie à l’histoire, le premier brevet de l’impression 3D est déposé en juillet 1984 par Jean-claude André, Olivier de Witte, et Alain le Méhauté pour le compte de l’entreprise CILAS ALCATEL. C’est le grand saut de l’impression additive. Dans un prochain blog, nous parlerons des différents types d’impression 3D. Mais il est bruit que les premiers essais en impression 3D ont été réalisés dans les années 70 – 80 par le chercheur japonais Dr Hideo Kodama.
L’Américain Charles Hull a breveté la technique de stéréolithographie (sorte de techniques phototypages utilisées en impression 3D). De nos jours, cette appellation porte le nom SLA : la première méthode d’impression 3D utilisée qui consiste à déposer (par une imprimante 3D) de fines couches de matières l’une sur l’autre pour obtenir la piéce programmée.
Maintenant, abordons la question posée ci-haut. Nous voulons rappeler que l’impression 3D est une technique qui permet de produire un objet, couche par couche, conçu via un logiciel 3D. Beaucoup d’experts en nouvelles technologies n’ont pas peur de dire que l’impression 3D est bel et bien la 4ème revolution industrielle après l’internet (et les nouvelles technologies) qui était le 3ème occupant. Cette technologie qui est l’impression 3D, on la retrouve partout :
En médecine, domaine où il y a beaucoup de contraintes, l’impression 3D occupe le podium. Des prothèses qui étaient difficiles à concevoir en quelques jours sont maintenant réalisées en une fraction de temps grâce à la technologie 3D. Des implants, les spécialistes utilisent l’impression 3D pour améliorer la précision et la forme des produits de leurs patients. Il y a lieu de parler des greffes, de coeur artificiel, où l’impression 3D rend les choses plus faciles aux gens dans ce domaine et c’est moins souvent coûteux. Beaucoup d’hôpitaux, des centres de recherche médicaux, des facultés en médecine utilisent des imprimantes 3D pour produire des pièces ou pour former des professionnels ou étudiants. Et l’impression 3D en est l’arme de choix.
Des grands constructeurs d’avion comme, Boeing, Airbus utilisent la technologie 3D pour concevoir des pièces techniques, matrices, prototypes… Dans certains avions comme A350 d’Airbus, il y a plus de 1000 pièces qui ont été réalisées par l’impression 3D.
Une revolution en cuisine, l’industrie alimentaire s’accroche aussi à la 3D. Mais on pourrait bien se demander qu’est-ce que l’impression 3D vient faire là-dedans? Des nos jours, de grands chefs de cuisine utilisent ce procédé pour créer des formes de plats exotiques qui seraient impossibles à réaliser à la main. C’est devenu possible grâce à cette technologie. Et on peut utiliser l’impression 3D pour éviter le gaspillage alimentaire. Il faudrait voir aussi que c’est très intéressant pour les chocolatiers (les chocolatières) qui produiraient des formes complexes et qui seraient impossibles de réaliser sans l’impression 3D.
La mode, l’impression 3D se faufile dans la mode pour créer des produits sur mesure, Qu’il s’agit des vêtements, des chaussures, des bijoux… la technologie 3D répond à tous ces besoins.
Pour ne citer que ces domaines ci-dessus, force est de constater que cette technologie prend une plus grande ampleur dans notre mode vie. Il y a une forte probabilité que chaque chose que vous touchez ou utilisez puisse être produite par l’impression 3D. On ne peut pas arrêter ou chasser le progrès. L’impression 3D est là pour rester jusqu’à la fin des temps. Il serait dans l’intérêt de chacun d’apprendre un peu plus de cette technologie et d’en tire profit. C’est une revolution technologique qui est marche, marchons main dans la main avec elle.
Ne ratez surtout pas notre prochain blog sur les différents types d’impression 3D.
Guytaud Augulus
Graphiste | Intégrateur & Développeur Web
Spécialiste en technologie HP Multi Jet Fusion
Spécialiste en impression d’étiquettes